Des espaces de débat entre les différents acteurs de la cité, sont indispensables (photo Adobe Stock)
Alors que les territoires s’étendent et se densifient, il apparaît important de prendre en compte l’empreinte environnementale qui permettra d’assurer une qualité de vie d’un bon niveau à ceux qui les occupent. Équipée de nombreux capteurs pour récupérer des données avec des applications de de plus en plus pertinentes pour le pilotage des déplacements et l’optimisation de la consommation énergétique, la Smart City n’est plus une utopie. Elle se développe en faisant de ceux qui l’habitent de véritables « smart citoyens », pour peu qu’ils s’investissent aux cotés de ceux auxquels ils ont confié la gestion.
Mais comment faire pour que les citoyens deviennent de véritables acteurs du territoire intelligent ? Le numérique est-il l’outil qui permettra de susciter l’adhésion et l’engagement des citoyens ? Comment mesurer les impacts des changements de comportements ? Autant de questions que se posent ceux qui gèrent la cité.
L’une des réponses se trouve dans l’intelligence collective générée par les citoyens et les changements de comportements induits par l’usage des nouvelles technologies désormais mises au service du territoire. La compétence numérique doit être considérée comme indispensable à tout individu pour son épanouissement et le développement personnel, la citoyenneté active, l’intégration sociale, l’emploi et une prise de conscience sur l’écologie.
Chaque citoyen doit être en mesure d’appréhender les outils, les usages et les enjeux qui permettront de faire progresser le territoire sur lequel il a décidé de s’installer. Cette notion entraine une remise en question sur ce que le numérique peu apporter à tout individu selon une nouvelle approche qu’il convient désormais d’enseigner à tous : la sagesse numérique
Mais pour que nos territoires deviennent intelligents, faut-il qu'ils soient intelligibles, avec à la clef, une démarche comprise et admise par l’ensemble des acteurs d’un territoire. Et pour cela le rôle des médiateurs numériques que sont les médias, les entreprises et les statup, est primordial dans l’accompagnement de l'écosystème d'un territoire vers sa mutation numérique et écologique.
Le rôle des collectivités, élus et structures publiques, est de traduire l’expression de besoins des citoyens mais également de les accompagner en mettant l’ensemble des acteurs autour d’une table pour obtenir le consensus. L’un des objectifs des élus des collectivités territoriales doit être de faire en sorte que davantage de citoyens soient capables d’agir « pour une société plus juste dans laquelle les droits sociaux, culturels, économiques, écologiques et de la santé sont au cœur des priorités ».
Mais comment faire pour que les citoyens deviennent de véritables acteurs du territoire intelligent ? Le numérique est-il l’outil qui permettra de susciter l’adhésion et l’engagement des citoyens ? Comment mesurer les impacts des changements de comportements ? Autant de questions que se posent ceux qui gèrent la cité.
L’une des réponses se trouve dans l’intelligence collective générée par les citoyens et les changements de comportements induits par l’usage des nouvelles technologies désormais mises au service du territoire. La compétence numérique doit être considérée comme indispensable à tout individu pour son épanouissement et le développement personnel, la citoyenneté active, l’intégration sociale, l’emploi et une prise de conscience sur l’écologie.
Chaque citoyen doit être en mesure d’appréhender les outils, les usages et les enjeux qui permettront de faire progresser le territoire sur lequel il a décidé de s’installer. Cette notion entraine une remise en question sur ce que le numérique peu apporter à tout individu selon une nouvelle approche qu’il convient désormais d’enseigner à tous : la sagesse numérique
Mais pour que nos territoires deviennent intelligents, faut-il qu'ils soient intelligibles, avec à la clef, une démarche comprise et admise par l’ensemble des acteurs d’un territoire. Et pour cela le rôle des médiateurs numériques que sont les médias, les entreprises et les statup, est primordial dans l’accompagnement de l'écosystème d'un territoire vers sa mutation numérique et écologique.
Le rôle des collectivités, élus et structures publiques, est de traduire l’expression de besoins des citoyens mais également de les accompagner en mettant l’ensemble des acteurs autour d’une table pour obtenir le consensus. L’un des objectifs des élus des collectivités territoriales doit être de faire en sorte que davantage de citoyens soient capables d’agir « pour une société plus juste dans laquelle les droits sociaux, culturels, économiques, écologiques et de la santé sont au cœur des priorités ».
Parlementaires et associations sont aussi des acteurs incontournables
Un débat qui inclut les parlementaires, lesquels doivent être en mesure de de faire appliquer la politique gouvernementale du moment. Mais à condition que chacun soit en mesure comprendre les enjeux des élections dans une démocratie comme la nôtre.
Il est donc plus que nécessaire de mieux informer les citoyens, dans un réel soucis de transparence, pour qu’ils soient partie prenante dans le débat qui s’annoncent à chaque scrutin. Pour que chacun comprenne qu’autour des élections se joue désormais l’avenir et l’organisation de notre société. Une société qui devra avoir des visions claires sur la démocratie, la solidarité, le respect de l’homme quel que soit son niveau social et surtout de son environnement.
Il est évident que si ce parlementaire est proche du gouvernement en place il doit lui apporter aide et conseil avec suffisamment de clairvoyance pour éviter les dérapages, ou s’il est dans l’opposition, veiller à ce que gouvernement ne conduise pas le pays dans une impasse. Si la plupart du temps majorité et opposition campent sur leurs idées, il est nécéssaire, faute de perdre un temps préjudiciable à l’avenir de notre société, qu’ils se mettent d’accord sur les dispositifs qui permettent d'assurer la transition écologique et la transformation numérique.
Reste un acteur dont les politiques ont tendance à se méfier, voire écarter : les associations. Ces dernières rassemblent le plus souvent les citoyens autour d’un projet ou un bien commun. Elles ont un rôle d’agitateur mais aussi d’interface entre tous les acteurs du territoire. Ce sont des facilitateurs incontournables qui permettent d’assurer le bon fonctionnement des réseaux qui irriguent un territoire.
Mobiliser tous les acteurs (décideurs, élus, académiques, chercheurs, industriels, citoyens…) d’un même territoire, leur faciliter l’accès à des espaces de réflexion et de partage de visions parfois différentes, de manière collaborative, participative et bienveillante, dans le but d’œuvrer pour l’intérêt commun, c’est à mon sens la clé de la réussite pour la ville de demain. Sans oublier d’anticiper ensemble les enjeux et les solutions.
Il est donc plus que nécessaire de mieux informer les citoyens, dans un réel soucis de transparence, pour qu’ils soient partie prenante dans le débat qui s’annoncent à chaque scrutin. Pour que chacun comprenne qu’autour des élections se joue désormais l’avenir et l’organisation de notre société. Une société qui devra avoir des visions claires sur la démocratie, la solidarité, le respect de l’homme quel que soit son niveau social et surtout de son environnement.
Il est évident que si ce parlementaire est proche du gouvernement en place il doit lui apporter aide et conseil avec suffisamment de clairvoyance pour éviter les dérapages, ou s’il est dans l’opposition, veiller à ce que gouvernement ne conduise pas le pays dans une impasse. Si la plupart du temps majorité et opposition campent sur leurs idées, il est nécéssaire, faute de perdre un temps préjudiciable à l’avenir de notre société, qu’ils se mettent d’accord sur les dispositifs qui permettent d'assurer la transition écologique et la transformation numérique.
Reste un acteur dont les politiques ont tendance à se méfier, voire écarter : les associations. Ces dernières rassemblent le plus souvent les citoyens autour d’un projet ou un bien commun. Elles ont un rôle d’agitateur mais aussi d’interface entre tous les acteurs du territoire. Ce sont des facilitateurs incontournables qui permettent d’assurer le bon fonctionnement des réseaux qui irriguent un territoire.
Mobiliser tous les acteurs (décideurs, élus, académiques, chercheurs, industriels, citoyens…) d’un même territoire, leur faciliter l’accès à des espaces de réflexion et de partage de visions parfois différentes, de manière collaborative, participative et bienveillante, dans le but d’œuvrer pour l’intérêt commun, c’est à mon sens la clé de la réussite pour la ville de demain. Sans oublier d’anticiper ensemble les enjeux et les solutions.